Title | : | The Unavowable Community |
Author | : | |
Rating | : | |
ISBN | : | 1581771045 |
ISBN-10 | : | 9781581771046 |
Language | : | English |
Format Type | : | Paperback |
Number of Pages | : | 90 |
Publication | : | First published January 1, 1983 |
The Unavowable Community Reviews
-
«متن بافت پایان ناپذیر معناهای ناتمام است»
تقریبا هر قطعه را دو یا سه بار خواندم.اما گفتن از بلانشو از این «نه» بسیار سخت است. متن ارجاعهای بسیار دارد و در سرزمین متنها زیست میکند. با این حال باید یکبار دیگر بخوانمش تا شاید بشود از او؛ از آن «نه» سخن گفت. -
خوانش بلانشو از باتای و سپس دوراس در توضیح مفهوم اجتماع.
بلانشو در بخش اول کتاب (اجتماع منفی) تلاش میکند کمونیسم را در بستری زبانشناختی بررسی کند. برای شناخت این سری کلمات، باید ترکشان کرد و از خلال کاستیهای مفهومیشان به آنها رسید. کمونیسم مفهومی درونماندگار است؛ یعنی انسان خودش باید اجتماعی بسازد که نیازهای انسانها بهطور برابر برآورده شود. پس انسان خودش را بهعنوان «یک واقعیت فردی ناب» وضع میکند؛ یعنی هیچ خاستگاهی غیر از خودش ندارد.
در کمونیسمِ بلانشویی، انسانی که روبهروی ماست را تقلیل نمیدهیم تا چیزی مثل خود ما از آب دربیاید. پس به نوعی «اجتماع غیابِ» باتایی میرسیم، که مشخصهی آن، عیاشی بیقاعده است، که چون در آن مرزی در نظر گرفته نمیشود، به «غیاب اجتماع» میرسیم.
هر هستنده در خود یک اصل نابسندگی دارد که ناشی از به پرسش کشیدن خود است و البته طرح این پرسش نیاز به دیگری دارد؛ این نیاز به دیگری است که نیاز به اجتماع را الزامی میسازد. هستنده برای وجود داشتن باید به نزاع دیگری برود، و به عبارتی شرط وجودی او «ناممکنی خودش» است بهعنوان فردی مجزا. پس هر هستنده یک اجتماع را فرامیخواند.
نابسندگیای که از آن حرف زدیم، در پی پایان دادن به خود نیست، بلکه مدام میخواهد این فقدان را زیاد کند، مدام در چالش باشد. خودانتقادی، «راهیست برای خودبسندگی ضمن حفظ حق نابسندگی برای خود، یکجور تحقیر خود که توأمان نوعی ترفیع خود هم هست». انزوا را نمیتوان به تنهایی تجربه کرد.
«مرگ، مرگ دیگری، همچون دوستی یا عشق، فضای صمیمیت یا درونیتی را روشن میکند که (نزد ژرژ باتای) نه هرگز فضای یک سوژه، بلکه سریدن به آن سوی حدود است.» از نظر باتای مبنای ارتباط، قرار گرفتن در معرض مرگ است. بلانشو نشان میدهد که رابطهی نوشتار و اجتماع/مخاطب برای باتای چگونه است، و اینکه باتای چطور از منِ حاکمانه بگسلد. کسی که برایش مینویسم ناشناخته است (کتاب هیچکس را خطاب قرار نمیدهد) و رابطه با ناشناخته مرا در معرض مرگ یا تناهی قرار میدهد و این اجتماع منفی را برقرار میکند.
در قسمت دوم (اجتماع عشق) باتای با نمونهآوری از می 68، واژهی مردم را تعریف میکند. این که مردم یک گردهمآیی نیست، دولت نیست، جامعه نیست، به چنگِ قدرت درنمیآید، مردمْ پراکندگی است. بلانشو با کمک داستانی از مارگریت دوراس به نام «مرض مرگ» در باب عشق صحبت میکند. -
Very difficult read in some ways, but more accessible (I found) than J.-L. Nancy. His focus on Bataille/Nancy in the first part and Duras in the second part gave a manageable scope to his considerations of community. I particularly enjoyed his reflections on May 1968 (in the second section).
-
Of a piece with all of Blanchot’s writing, which exists in the space between presence and absence, of the word, of the book, of association. I’m still just beginning to appreciate his work, but it seems nearly unparalleled in its fidelity to the nature of the unspeakable, the unthinkable. Herein an intrepid reader will find some provocative glosses of Bataille’s project as the articulation of the “community of those who have no community” — the désoeuvrement that characterizes the community of friends, of lovers, of those so constituted only by (beyond) their difference and mutual contestation. Blanchot sums up the way his writing perches in-between nicely at the end:
Wittgenstein's all too famous and all too often repeated precept, "Whereof one cannot speak, there one must be silent" - given that by enunciating it he has not been able to impose silence' on himself - does indicate that in the final analysis one has to talk in order to remain silent. But with what kinds of words? That is one of the questions this little book entrusts to others, not that they may answer it, rather that they may choose to carry it with them, and, perhaps, extend it. -
pim pam pum así hace Blanchot y te deja tururú
-
“a exposição à morte, já não de si mesmo, mas de outrem, cuja presença viva e mais próxima é já eterna, e a ausência tão insuportável que nenhum trabalho de luto diminui. E é precisamente na vida que esta ausência de outrem deve ser encontrada; é com ela - a sua presença insólita, sempre sob a ameaça preliminar do desaparecimento - que a amizade se joga e a cada instante se perde, relação sem relação ou sem relação que não seja a do incomensurável (…). Assim é, assim seria a amizade que descobre o desconhecido que nós somos para nós mesmos, e o encontro com a nossa própria solidão que precisamente não podemos ser os únicos a experimentar (“incapaz, eu só, de ir ao fim do extremo”). “O infinito do abandono”, “a comunidade daqueles que não têm comunidade”.
-
As Wittgenstein inferred, when language cease to work, philosophy is born. Blanchot’s argument is based on this “désœuvrement”. In this muted manifestation, we push the capacity of mentality to the extreme, and there cast the first ray of limelight.
-
Tenía curiosidad por leer a Blanchot, pero probablemente esta no sea su mejor obra. De todas maneras, se trata de un intento interesante de conjugar un nuevo significado de comunidad a partir de textos de Bataille, Duras, Levinas y Nancy, aunque no ofrezca resultados demasiado satisfactorios.
-
Writing as always at the edge of what is possible to express. Great insights into what is impossible in love and possible in death
-
Brill - the conversation with Nancy continues here. Bloody loved it. 10/10
-
Lecture intéressante pour le mémoire, mais un peu lourde à certains moments car beaucoup de virgules lol.
-
ببساطة هذا الكتاب ليس لي.
النجمة لاقتباسات جورج باتاي بس 🦦 -
la communauté inavouable, les éditions de minuit, paris, 1983, isbn 978-2-7073-0666-1
9
...la possibilité ou l'impossibilité d'une communauté en un temps qui semble en avoir perdu jusqu'á la compréhension
comum
11
pas de reste. c'est l'origine apparemment saine du totalitarisme le plus matin.
12
...si le rapport de l'homme à l'homme cesse d'être le rapport du Même avec le Même mais introduit l'Autre comme irréductible et, dans son égalité, toujours en dissymétrie par rapport à celui quile considère, c'est une tou autre sorte de relation qui s'impose et qui impose une autre forme de societé qu'on osera à peine nommer 'communauté'.
solidão partilhada
13
Bataille celui 'qui sans doute a été le plus loin dans l'expérience cruciale du destin moderne de la 'communauté''.
14
bataille entre 1930 e 1940 le mot communauté s'impose à sa recherche
15
princípio de incompletude
[citando bataille] pourquoi 'communauté'? 'a la base de chaque être, il existe un princpe d'insuffisance...' (principe d'incompletude). cést un principe, notons-le bien, cela qui commande et ordonne la possibilité d'un être.
17
finitude
communion?
19
bataille, principe d'insuffisance, 'base de tout être'.
21
Me maintenir présent dans la proximité d'autrui qui s'éloigne définitivement en mourant, prendre sur moi la mort d'autrui comme la seule morte qui me concerne, voilà ce qui me met hors de moi et est la seule séparation qui puisse m'ouvrir, dans son impossibilité, à l'Ouvert d'une communauté.
bataille: 's'il voit son semblable mourir, un vivant ne peut plus
subsister que hors de soi'.
* 22
voilà ce qui fonde la communauté. il ne saurait y avoir de communauté si n'était commun l'événement premier et dernier qui en chacun cesse de pouvoir l'être (naissance, mort).
23
ce qui ne veut pas dire que la communauté assure une sorte de non-mortalité.
23-4
'si la communauté est révélée par la mort d'autrui, c'est que la morte este elle-même la véritable communauté des êtres mortels: leur comunion impossible. la communauté occupe donc cette place singulíere: elle assume l'impossibilité de sa propre immanence, l'impossibilité d'un être comunautaire comme sujet. la communauté assume et inscrit en quelque sorte l'impossibilité de la communauté...une communauté este la présentation à ses 'membres' de leur vérité mortelle (autant dire qu'il n'y a pas de communauté d'être immortels...). elle est la présentation de la finitude et de l'excès sans retour qui fonde l'être-fini...'
*24
a quoi sert-elle? a rien, sinon à rendre présent le service à autrui jusque dans la mort, pour qu'autrui ne se perde pas solitairement, mais s'y trouve suppléé, en même temps qu'il apoorte à un autre cette supléance qui lui est procurée. la substitution mortelle este ce quei remplace la communion
25
la communauté n'est pas le lieu de la Souveraineté
elle inclut l'extériorité d'être qui l'exclut (la mort, la parole, la relation à autrui)
26-
grupos/comunidades nas quais bataille se envolveu
28
chaque membre de la communauté n'est pas seulement toute la communauté, mais l'incarnation violente, disparate, éclatée, impuissante, de l'ensemble des êtres qui, tendant à exister inteégralement, ont pour corollaire le néant où ils sont déjà par avance tombés. chque membre ne forme groupe que par l'absolu de la séparation qui a besoin de s'affirmer pour se rompre jusqu'à devenir rapport, raport paradoxal...
29
dehors
30
sacrifice et abandon
sacrifier est abandonner et donner...
temps
35
seule en vaut la peine la transmission de l'intransmissible
37
mémoire
45
la communauté négative: la communauté de ceux qui n'ont pas de communauté
46
communauté avec l'impossible
'la base de la communication' n'est pas nécessairemente la parole, voire le silence qui en est le fon et la ponctuation, mais l'exposition à la mort, non plus de moi-même, mais d'autrui don même la présence vivante et la plus procche est déjà l'éternelle et l'insupportable asence, celle que ne diminue le travail d'aucun deuil. et c'est dans la vie même que cette absence d'autrui doit être rencontrée...
'l'infini de l'abondon', 'la communauté de ceux qui n'ont pas de communauté'. nous touchons peut-être là la forme ultime de l'expérience communautaire, apr´`es laquelle il n'y aura plus rien à dire, parce qu'elle doit se connaître en s'ignorant elle-même.
58
un tel monde qui précisement est l'oubli du monde.
61
impuissance -
“Por certo, à medida que o tempo passa, ao discernir que com ela precisamente o tempo deixa de passar e que assim ele se encontra privado das suas pequenas propriedades, “o seu quarto pessoal" que, ao ser habitado por ela, está como que vazio — e é este vazio, que ela instala, que faz com que ela esteja a mais - ocorre-nos que ela deveria desaparecer e que tudo seria aligeirado se ela regressasse ao mar (o lugar de onde ele acredita que ela veio), um pensamento que não passa de uma veleidade do pensamento. No entanto, assim que ela se afasta verdadeiramente, ele experimentará uma espécie de arrependimento e um desejo de a rever, na nova solidão que a sua ausência súbita criou. Porém, ele cometeu o erro de falar disto aos outros e até de rir disto, como se a tentativa que ele tinha empreendido com uma seriedade extrema, disposto que estava a consagrar-lhe toda a vida, não tivesse deixado na memória senão o escárnio do ilusório. Este é, de facto, um dos traços da comunidade: a comunidade dissolve-se, dando a impressão de nunca ter existido, ainda que tivesse existido.”
-
Not the best Blanchot has to offer, but surely not bad.
A spiraling attempt at speaking of that which cannot be spoken of, which evades all avowal; the communital relation -
I don't know what it is with me and Blanchot, but most of his writing just feels incredibly timid and equivocal.
-
La Comunidad Inconfesable. Filosóficamente denso, desde un discurso novedoso, tratando de buscar qué es eso que llamamos Comunidad. Y buscando, siempre, un tipo de comunidades muy peculiares.