Title | : | Rain (Blackwater, #6) |
Author | : | |
Rating | : | |
ISBN | : | 0380827921 |
ISBN-10 | : | 9780380827923 |
Language | : | English |
Format Type | : | Paperback |
Number of Pages | : | 190 |
Publication | : | First published June 1, 1983 |
At the height of the revelry, at the peak of chaos, in the fearful silence of blackest night, preternatural horror pounced upon the Caskeys. But still Elinor reigned, until her solemn vow of death came true - in the final horror.
Rain (Blackwater, #6) Reviews
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It's hard to review this final book of the Blackwater saga without spoilers, so I'll just say that it did not disappoint. The plot remains consistent, a blend of mostly-ordinary family affairs and uncanny abnormalities--notably the increasingly restless brood of apparitions and river monsters. Though there was a revealing prophecy early on (Book #1 I believe), the ending still left me surprised and satisfied. I didn't realize how much I loved Blackwater until it was over and I had to return to the real world, with no more pages of Caskey history to follow.
After some reflection I'll post a review of what I thought of the complete 1000+ page saga as a single entity, which is what it really is. -
This has to be one of the most satisfying series I've ever read.
A stunning multi-generational epic full of drama, mystery, familial obligations and secrets. Oh, and ghosts! And river creatures! I am so sad to see it end.
I'm verklempt. -
J’ai plutôt bien apprécié ce tome même si certains des personnages m’ont beaucoup agacé. Je pense notamment à Sister qui, petit à petit, devient comme sa mère, ou Lilah qui prend modèle sur sa tante telle qu’elle était dans le quatrième tome. J’imagine que c’est une façon de montrer que la boucle est bouclée ou que le passé finit toujours par se répéter (et c’est clairement la thématique de ce tome) mais ça donne forcément une impression de redite que je trouve un peu dommage.
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En revanche, j’aime toujours autant le personnage d’Elinor et j’ai aussi beaucoup aimé l’évolution de Miriam. Très clairement, les personnages féminins sont bien plus intéressants que les personnages masculins dans cette série. ⠀
Comme dans tout le reste de la saga, les rapports humains ne sont pas toujours des plus réalistes avec des relations de couples assez étranges et toujours un traitement bizarre des enfants, mais on commence à être habitués à tout ça je suppose.
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J’ai trouvé que l’aspect fantastico-horrifique arrivait un peu plus tôt dans ce tome, notamment avec une scène dans la maison de Queenie que j’ai trouvé assez angoissante. En revanche, je suis un poil déçu que les différents mystères ne soient pas vraiment expliqués. La conclusion est tout à fait satisfaisante mais c’est vrai que quelques réponses n’auraient pas été de trop.
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Pour conclure avec un avis global sur la série, je ne regrette pas de m’être laissé tenté par cette saga. Je ne pense pas qu’il s’agisse d’un incontournable de la littérature que tout le monde devrait absolument découvrir, mais il s’agit d’un très bon divertissement et c’est tout ce que je demandais pour ma part. -
I can't believe the Caskey saga is over! :(. This six-book series was an incredible example of Southern-Gothic literature! Blackwater had everything you could want: family secrets, ghostly visitations, river creatures, unexplainable phenomenon, and all of the drama you would expect to see in a soap opera. The conclusion to this series was quite fitting, in my humble opinion, but a part of me wishes that the book would have NEVER come to an end--it was THAT enthralling.
Easily one of my favorite reads of 2015--I can certainly see myself reading it again in the future.
Highest recommendation for the entire series! -
La saga Blackwater se termine avec pertes et fracas dans ce tome où tout s'emballe - les morts viennent hanter les vivants, les histoires se répètent et la fortune des Caskey ne suffira pas à les garder tous à l'abri...
J'ai lu ce dernier tome en une journée, pressée de connaître la fin (que je connaissais déjà pourtant, car elle est annoncée plus tôt dans la saga...) et totalement happée par une intrigue dont la noirceur n'a fait que s'accentuer de page en page.
Le plus incroyable dans ce moment de lecture, aura été cet orage et cette forte pluie qui ont éclaté sitôt le livre refermé pour de bon... it was eerie
C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai lu cette saga cet été en tout cas, malgré des schémas narratifs un peu répétitifs (à dessein je pense) c'était un divertissement bien ficelé et très addictif ! -
I’m finished. Gutted. My journey is now over, and I want nothing more than to restart book one and meet the Caskeys again.
Thanks to this novel’s title and cover I knew how Michael McDowell ended his magnum opus but didn’t think it would be so emotional or well-wrought or damn scary. The scares herein are some of the most effective I’ve read in a while, maybe because over the previous five books these characters and settings were so well-developed.
What can I say? Rain is a pitch-perfect finale to one of the finest stories told in horror fiction: one I’d love to see as a miniseries, perhaps on Hulu or Netflix. This is a saga I won’t soon forget, and I already want to visit Perdido once more . . . -
The Rain is the final chapter in the Caskey saga. There was not a weak point in this entire series. The drama was sort of like a Soap Opera. Remind me of Dark Shadows a little bit. The saga contained family secrets, river creatures, ghosts and much more. The end was very good in the way it was handled. This was a fine example of Southern Gothic horror from the 80's. I really hated to see the series end. I would have liked to seen one more book, so it could have tied up the loose ends. I highly recommend the series.
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So if you have not read a McDowell book yet do yourself a big favor and DO IT!
Although Mr. King is known as “The King” of American Horror, Michael McDowell should be in the top mentions. Hell, his last book was even finished by Tabitha King after McDowell passed away at the too young age of 49 in 1999. Stephen King and his wife were huge fans of McDowell.
Blackwater is his masterpiece. Written and released separately in six books, it is absolutely epic - not just as a horror novel but Americana at its best.
I found myself mesmerized by the whole thing and the Caskey family in particular. What a completely wack family! At times you will wonder who the true monsters are - the ones in the river or some of those in the damn family!
I really loved the journey travelled on this book - it took me a while to finish but it was well worth it.
⭐️ ⭐️⭐️⭐️⭐️ -
😭😭😭😭
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The past finally catches up with our brackish heroine and her brood as the vengeful ghosts of the men, women and children who died so that the Caskeys could prosper return to collect their pound of flesh from the surviving members of this wonderfully rendered cast of southern romantics, plotters, fools, madmen and madwomen, and literal monsters. After 800 pages and fifty decades of narrative, it is painful to see so many once spry and capable characters now aged to decrepitude. McDowell treats these characters with a melancholy dignity up until the moment they suffer deaths that are sometimes cruel and undeserved. And with a torrent of water and pathos this long story comes to its satisfying conclusion, and the reader can't help but admire
Blackwater's dense web of intrigue and incident, its patient and rewarding characterizations, and the air of insouciance it maintains as it sidesteps the heteronormative status quo by presenting positive portrayals of female autonomy and homosexuality. A superb reading experience. -
A satisfying final installment to the Caskey saga.
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and thus I have came to the end of this phenomenal saga. this has been such a wonderful journey and the Caskey's will always have a place in my heart. my favorite out of the saga is probably the War.
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J'ai fini la série Blackwater, dont je n'avais pas entendu parler il y a un mois . Six petits livres d'environ 200 pages, sortis toutes les deux semaines.
Blackwater, c'est déjà sa scène d'ouverture. Je pourrais écrire un essai sur la première scène de Blackwater. Elle contient tout ce qui me plaît dans la littérature et c'est pour moi une des meilleures ouvertures de romans que j'ai pu lire. La ville, Perdido, qui tient son nom d'une rivière qui la traverse, et qui sera le lieu de tous les tomes, nous est présentée sous un jour inhabituel : deux hommes progressent lentement en barque au niveau du premier étage des bâtiments de la rue principale. L'un redoute ce qu'ils pourraient trouver, et l'autre lui donne des ordres. Lorsqu'ils rencontrent Elinor, si mystérieuse, par la fenêtre brisée d'une chambre d'hôtel, on se doute que quelque chose de fantastique vient d'entrer dans leurs vies, même si on ne sait pas encore ce dont il s'agit, ni ce qu'est leur vie.
Mais ne vous y trompez pas, si le livre s'ouvre sur deux hommes, ils vont se retirer bien vite avec l'eau de la crue, au profit d'un ensemble de personnages féminins superbement dessinés. Car chez les Caskey, la famille qu'on suivra six tomes sur trois générations, ce sont les femmes qui pilotent. Bien sûr ce sont les hommes qui s'occupent de la scierie qui fait vivre la famille, mais personne n'est dupe et surtout pas la narrateur, qui plante vite dans la tête du lecteur qu'il va bien lire une histoire de femmes,avec, comme centre du mystère, l'énigmatique Elinor si attirée par la rivière qui semble l'avoir déposée sur ce lit d'un hôtel abandonné.
Les liens familiaux, financiers, amoureux, sont exposés avec une telle grâce et un tel esprit, et la narration donne juste ce qu'il faut . Vous aurez sans doute une image si nette de Perdido, de ces maisons tantôt accueillantes tantôt inquiétantes, d'Elinor, d'Oscar et les autres. Vous aurez sans doute l'impression d'avoir assisté en personne à chaque discussion cruciale, dispute, accouchement ou meurtre, pourtant vous en aurez lu si peu. Le strict nécessaire. Vous aurez fait le boulot qui vous revenait de droit, en tant que lecteur, et c'est une grande force de Blackwater ! Tout est si tellement juste et bien placé que rien ne vient perturber votre imagination, rien ne heurte, aucun dialogue ne sonne faux. Même les passages série B s'intègrent à la saga familiale avec un naturel déroutant . Vous écrirez Blackwater sans être dérangé, et il ne fera, à la fin, dans une boucle qui souligne juste l'élégance de l'ensemble, aucun doute qu'Elinor et les Caskey, ont, pour un temps, existé comme vous et moi.
A découvrir cet été et à se passer d'une chaise longue à celle d'à côté ! Quel bonheur ! -
The Caskey family is brought to the 70’s in this final book in the series. Individually this is not a “horror” story, but together there is a horror/ ghost/ paranormal aspect.
If the author based the Caskey’s on a real family I could hardly believe such a family ever existed. The baby swapping alone is mind boggling. This family is the epitome of co-dependency; living next door to each other and staying at each other’s houses. I loved them for their deep familial love of each other.
The narration was phenomenal! The narrator had an individual voice for each character. I felt like the characters were alive and present in the story telling. The narration was fluid, articulate, and even (no sudden screams or voice pitch variations). I was so blown away by this book I am going to do something I haven’t done in years. I am going to start it all over again. I highly recommend this series. -
Désormais immensément riche, le clan Caskey original a vieilli. Elinor et Oscar ont délaissé les affaires qu'ils ont confiées aux plus jeunes. Cependant, les morts désirent se venger.
Un tome final au goût amer. Non pour sa qualité, qui est au rendez-vous, mais pour ce qu'il nous raconte. Michael McDowell décide ici de refermer la page des Caskey avec les plus anciens membres encore en vie. Si nous suivons toujours l'évolution de la jeunesse à travers les deux derniers cousins Caskey en terme de généalogie, ces derniers seront loin d'être aussi charismatiques que leurs aînés et l'on sent bien qu'ils se sont pas le réel propos de ce tome. A l'inverse, l'auteur fait vibrer notre corde sensible en nous présentant la vieillesse et la décrépitude de certains de ces personnages que nous avons appris à aimer/détester (pour ma part, je ne sais toujours pas que penser moralement d'Elinor, qui serait selon moi la définition même du "neutre strict" dans le système d'alignement DnD). Cependant, McDowell ne laissera pas à ses personnages le bonheur de tous partir sans autre souffrance que les affres de la vieillesse. Ainsi, le surnaturel revient pour nous offrir quelques scènes diablement efficace durant lesquelles les Caskey devront affronter ce que la Perdido leur gardait en réserve. Mon seul regret concernant ces scènes et le caractère peut-être "aléatoire" du choix des personnages (pourquoi certains personnages ne sont-ils pas de retour?).
Pour terminer, la scène finale, annoncée dès les premiers tomes, s'avère très belle et poétique d'un certain point de vue, venant clore de manière logique cette saga familiale. Un véritable coup de cœur que ce dernier tome tant attendu.
Nous n'aurons bien sûr pas toutes les réponses que l'on pourrait espérer. Cependant, j'en ai depuis longtemps fait mon deuil et ce n'est au final pas si grave.
Une conclusion que j'ai adorée lire! -
Globalement, je me suis quand même assez ennuyée en lisant la saga, il y a peu d'enjeux, on observe juste une famille devenir riche et s'effriter, parce que l'argent à ne plus savoir qu'en faire n'a que peu d'utilité quand il n'y a plus personne pour en profiter. Je ne sais pas ce que l'auteur a voulu nous dire avec tout ça, le peu de "fantastique" de la saga n'a que peu fonctionné sur moi. En gros, c'est l'histoire d'une femme (parce que oui, c'est Elinor le main character de cette histoire) qui sauve une ville entière et la fait prospérer jusqu'à sa mort où tout s'effondre. Il y a de chouettes moments, mais tant de questions restent sans réponse, notamment un pourquoi qui m'a martelé les tempes depuis le tome 1.
Bref, Blackwater, ça se lit en éteignant son cerveau, il ne faut pas réfléchir, pas se questionner, accepter le peu d'information qu'on nous donne. Ça se lit facilement, mais c'est frustrant. -
Blackwater VI: Rain - 5 stars...
Ahh the perfect ending to a perfect saga! In this last book, Rain, the rain & flooding that started the Saga off in 1919 are back again and along with it, the Caskey family secrets and sins are coming full circle...
I think everyone should read the Blackwater Saga at least once. It's truly amazing! McDowell captures the personalities of the Southern characters and matriarchal family perfectly! I'm sad that it's over but I'm really glad there's still a few more books left in McDowell's collection that l haven't read yet so the end doesn't feel quite so final just yet. -
"Rain" is the sixth and final book of Michael McDowell's Southern Gothic Blackwater series. "Rain" was a fitting finale to the saga of the Caskey family.
There was not a weak point in the entire series. From the opening scene of Elinor's rescue in "The Flood" to the final dark scene in "Rain", McDowell stayed true to his theme.
I think it says a lot of a series when, finishing six books, you wish there was more. That is where I am with the Blackwater series.
5 STARS -
I'm dead. This book killed me. A better review is coming
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C’est le tome de la chute d’une dynastie.
Les Caskey ne voient pas les années passer du haut de leur colline, Perdido évolue, change et se modernise.
Mais que se passerait-il si un événement venait tout chambouler une nouvelle fois ?
Accrochez vos ceintures pour cet ultime épisode, le plus développé pour le côté surnaturel, et embarquez sur un canoë 🛶 pour dévaler les flots de la Blackwater et de la Perdido déchaînées une dernière fois.
Au revoir les Caskey, adieu Alabama, Merci M.McDowell. -
Je suis très heureuse d'avoir terminé cette saga, d'avoir découvert le fin mot de l'histoire même s'il ne donne pas toutes les réponses aux questions posées au fil de ma lecture. Je suis en même temps triste de quitter la famille Caskey que j'ai vue se construire, se développer, s'arracher et s'enrichir pendant de longues années.
C'était si bien, si enivrant, si passionnant. Une magnifique découverte en somme. -
Cette conclusion de Saga était très satisfaisante. Attendue, certes, mais fort sympathique.
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LA SAGA DU PRINTEMPS 2022 ♥️
Blackwater est officiellement l’équivalent livresque d’une série tv qu’on binge-watcherait avec avidité.
Ce tome est un final épique qui fait de M. McDowell un auteur à ne pas manquer.
Je quitte la famille Caskey avec mélancolie mais le cœur rempli. -
Il y a eu des hauts et des bas dans mon experi3nce de lecture de cette série, qui par certains côtés (la saga familiale, les éléments magiques) rappellent Cent Ans de Solitude mais dans une toute autre ambiance. Le dernier tome n'est pas celui que j'ai trouvé le plus prenant et je reste sur la faim avec la fin, beaucoup de questions sans réponses même si ça semble être une volonté de l'auteur.
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Finally and sadly The Blackwater saga is over in the sixth installment. It all began in the first book, In an Alabama town there was a flood, two guys on a boat came across a lady and saved her, then eventually the floods went away. Who was Elinor Caskey? And where did she come from? Eventually over time you find out and begin to love her and all that goes on with the Caskeys, the author is a skilled story teller and takes you through the rise and fall of Elinor's presence in an Alabama town.
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I loved getting to know the family and how their lives intertwined. A soap opera with a twist.
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Mary-Love drops by
never one to let things go
in life or after. -
Toutes les bonnes choses ont une fin … et Blackwater ne déroge pas à cette règle puisque ce 6ème et dernier tome de la série vient donner son clap de fin à presque deux mois de lecture addictive.
On nous l’avait présentée comme une saga matriarcale, et force est de constater que les personnages féminins de cette histoire sont bien plus intéressants que les masculins. J’ai adoré suivre l’évolution de ces différentes filles et femmes sur plusieurs décennies. Certaines ont pris du pouvoir et plus de place tandis que d’autres se sont peu à peu effacées au fil des ans. Dans ce dernier volume, on constate que les schémas du passé se répètent entre les générations ; une façon de montrer que la boucle est bouclée.
Dans chacun des tomes, il ne se passe finalement pas tant de choses que ça et c’est la raison pour laquelle l’oeuvre est, selon moi, à considérer dans son ensemble. En ce sens, j’ai trouvé le calendrier de parution très cohérent, à l’image d’un feuilleton qu’on adore suivre.
Au final, tous les mystères ne sont pas vraiment expliqués mais la conclusion est néanmoins satisfaisante. C’est avec le coeur triste que je quitte la famille Caskey et termine cette saga plus que prenante et surprenante ! -
Mini-Review:
4 Stars for Audiobook, 3.5 Stars for Story
4.5 Stars for Narration by Matt Godfrey
3 Stars for Plot & Overall Progression
3.5 Stars for Atmosphere
4 Stars for Caskey Dynasty
Blackwater series was interesting. It's not a horror story. It's more like an extended folktale that spans about four generations of the Caskey family line. I enjoyed the story more when it went into detail about the setting, characters, history and events within the story. The odd summaries to move the timeline felt a little out of place.
In general, there's great atmosphere woven into the books and the pivotal scenes stand out in stark contrast to the rest. I enjoyed how the series began and the way it ended. The Caskey's are an interesting bunch & it was fun to take a peek into their lives.
Blackwater is a dynastic tale with a twist. Not really a horror or fantasy but a mix of suspense, drama, folklore and a bite or two of nightmares. -
I’m pretty sad to come to the end of this story.
For all the river monsters, folk magic, and hauntings, this was really all about family. About children and their parents, about how many are fated to become their elders or rebel against them.
It’s not *perfect*.
There’s a few details—like the supernatural elements—that don’t come together in quite as satisfying a way as I was hoping, but Blackwater is so consistently surprising, ambitious, and engaging I would almost feel churlish faulting it for that. It’s a slow-burn for sure, but I hardly ever knew where this wild ride was going and was quite shocked and saddened to see a horrible HORRIBLE fate befall some characters I had grown to love.
I’ll always cherish this summer I spent reading the tragic history of the Caskeys.