Title | : | Monique s'évade |
Author | : | |
Rating | : | |
ISBN | : | 2021483460 |
ISBN-10 | : | 9782021483468 |
Language | : | French |
Format Type | : | Paperback |
Number of Pages | : | 180 |
Publication | : | Published April 26, 2024 |
Elle qui avait quitté mon père quelques années plus tôt pour échapper à la violence domestique et masculine se retrouvait à nouveau piégée dans ce qu'elle avait cru fuir. Elle me l’avait caché pour ne pas « m’inquiéter » mais cette nuit-là était celle de trop. Je lui ai conseillé de partir, sans attendre. Quelques heures plus tard elle traversait la ville dans la précipitation avec un sac à dos et son chien.
Elle s’évadait.
Dès le lendemain se sont posées les questions de la vie qu’il fallait inventer pour ma mère. Comment vivre, et où, sans argent, sans diplômes, sans permis de conduire, parce qu'on a passé sa vie à élever des enfants et à subir la brutalité masculine ?
Ce livre est le récit d’une évasion.
Monique s'évade Reviews
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Édouard Louis heeft tot nu toe 2 boeken over zijn moeder geschreven
Het eerste :
'Combats et métamorphoses d’une femme, dans ce livre je raconte comment elle a fui mon père après plus de vingt années avec lui, vingt années de suffocation, dans ce livre j’ai tenté de retracer sa première évasion,.'
En nu met 'Monique s'évade' gaat het over de tweede ontsnapping van zijn moeder.
Want inderdaad, enkele jaren nadat Monique bij haar man is weggegaan, stapt ze in een nieuwe relatie die weer de verkeerde kant op gaat.
Deze keer beseft Monique vlugger wat er gebeurt en roept ze de hulp van haar intussen volwassen zoon in.
'Je me suis libérée de ton père, je pensais que ce serait une nouvelle vie pour moi et maintenant tout recommence, tout recommence pareil, elle disait, ses mots entrecoupés par les sanglots, Je ne sais pas pourquoi j’ai une vie de merde comme ça, pourquoi je tombe que sur des hommes qui m’empêchent d’être heureuse je mérite quand même pas de souffrir autant.'
En Louis besluit deze keer zijn moeder te helpen om 'opnieuw van nul te beginnen'.
Aan de complexe gevoelens die hij tov zijn familie en meer in het bijzonder tov van zijn moeder heeft, wordt uitgebreid aandacht besteed.
Dun maar heel mooi boekje, waarin een gevoelige materie - toxische relaties - heel mooi, sereen en zonder sensatie te zoeken, wordt beschreven.
'Une dernière remarque : l’histoire que je raconte n’est pas un éloge de la fuite. Je vous vois déjà venir :
Que la fuite est belle ! Quelle femme courageuse !
Mais vous vous trompez. Car ce n’est pas suffisant. En lisant cette histoire vous devez aussi vous dire :
Pourquoi certains fuient, quand d’autres n’ont pas à fuir ?
Pourquoi certains doivent toujours courir, quand d’autres peuvent dormir ?
Pourquoi certains doivent toujours lutter, quand d’autres peuvent profiter ?
Vous devez aussi vous dire : Combien de désillusions pour chaque évasion ?
Combien de vies sacrifiées pour chaque vie sauvée Car la fuite est un fardeau
Car la fuite est un fardeau
Et beaucoup plus tard peut‐être elle génère le Beau.'
Wat mij telkens verbaast bij Édouard Louis, is hoe zo'n jonge schrijver - 31 is hij wanneer hij dit boek schrijft - de dingen zo helder kan analyseren en het dan daarna nog eens mooi op papier kan zetten.
Hij doet me denken aan Annie Ernaux, maar die was toch een stuk ouder toen ze voor het eerst begon met haar leven en haar verleden te fileren.
Heel knap gedaan.
Om te lezen en te herlezen, want in dit boekje van amper 180 bdz met bovendien veel witruimte zit meer in dan ik in één lezing kan doorgronden. -
Je lis tous les romans d’Édouard Louis depuis la publication du premier, En finir avec Eddy Bellegueule. Si le "personnage médiatique" Édouard Louis peut parfois me gêner ou m’agacer, j’aime beaucoup l’écrivain et ses textes, à la fois personnels, touchants et engagés. Je n’ai donc pas hésité à lire dès sa sortie son nouveau roman Monique s’évade, consacré à sa mère, comme l’était déjà Combats et métamorphoses d'une femme en 2021.
Une nuit, j’ai reçu un appel de ma mère. Elle pleurait. Elle me disait au téléphone que l’homme avec qui elle vivait était ivre et qu’il l’insultait. En vérité cela faisait plusieurs années que la même scène se reproduisait, systématiquement : cet homme buvait et une fois sous l’influence de l’alcool il l’attaquait avec des mots d’une violence extrême.
Elle qui avait quitté mon père quelques années plus tôt pour échapper à la violence domestique et masculine se retrouvait à nouveau piégée dans ce qu'elle avait cru fuir. Elle me l’avait caché pour ne pas « m’inquiéter » mais cette nuit-là était celle de trop. Je lui ai conseillé de partir, sans attendre. Quelques heures plus tard elle traversait la ville dans la précipitation avec un sac à dos et son chien.
Elle s’évadait.
Dès le lendemain se sont posées les questions de la vie qu’il fallait inventer pour ma mère. Comment vivre, et où, sans argent, sans diplômes, sans permis de conduire, parce qu'on a passé sa vie à élever des enfants et à subir la brutalité masculine ?
Ce livre est le récit d’une évasion.
Les hasards de la vie ont fait que j’ai enchainé la lecture de ce roman après celle d’un autre texte consacré à la mère de son auteur, Vie, vieillesse et mort d’une femme du peuple de Didier Eribon. Le ton est toutefois très différent : là où Didier Eribon relatait les dernières semaines de la vie de sa mère, Édouard Louis raconte un épisode de rupture de sa mère avec l’homme avec lequel elle vivait depuis plusieurs années, ce qui constitue bien sûr un bouleversement, mais qui est aussi l’occasion d’une transformation positive, d’une libération.
Le récit est joliment mené par Édouard Louis et j’ai pris beaucoup de plaisir à suivre les « aventures » de sa mère dans ce court roman. J’ai surtout été saisi par l’émotion en lisant les deux derniers chapitres, qui justifient à eux seuls la lecture de ce livre. -
Rien de nouveau sous le soleil, Édouard Louis est toujours aussi péteux et pédant.
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Cet auteur ne perd pas en pertinence et en talent.
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Le regard d’un fils sur la souffrance de sa mère et l’émancipation bouleversante d’une femme.
Ce livre transpire d’amour maternel et traite de sujets qui me touchent tout particulièrement.
J’ai adoré suivre cette fuite, cette transformation.
Une libération qui explose le cœur. -
C’est encore avec un énorme talent que Édouard Louis parle de lui et de sa famille pour parler de nous, de notre société, de sa violence.
Monique, sa mère, n’en peut plus de son conjoint alcoolique qui ne cesse de la rabaisser. Mais comment faire sans argent, et aller où ? Elle appelle son fils à l’aide.
Une histoire de famille, de violences et de réconciliation.
Bon… si Édouard ne cesse d’y voir un problème de société, de classe sociale et d’argent, les mêmes schémas ne se retrouvent-ils pas dans bien d’autres milieux ?
Monique s’évade, une magnifique ode au courage !
https://www.noid.ch/monique-sevade/ -
"Parce que la liberté est aussi une affaire de détails"
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Après avoir adoré il y a quelques années « Combats et métamorphoses d’une femme » j’avais hâte de découvrir le nouveau récit sur la mère de l’auteur.
On retrouve sa mère qu’on pensait libérée de son ex-conjoint violent dans le précédent livre et qui n’a que trop peu goûté à cette liberté rêvée. S’organise alors sa fuite pour conquérir cette liberté tant espérée.
Le récit d’une évasion, d’un rapprochement mère-fils et d’un amour inconditionnel qui n’avait rien d’une évidence mais qui est pourtant bien présent.
Monique, la mère d’Edouard Louis est terriblement touchante et drôle à la fois. On vibre d’émotions à ses côtés et on espère qu’une seule chose : la voir gagner enfin sa liberté tant espérée et méritée.
Une liberté mais à quel prix ? La réflexion de l’auteur est poussée jusqu’à la capacité à gagner cette liberté. Peut-on véritablement se le permettre ? À quelles conditions et quels sacrifices ?
Bref, j’ai encore une fois adoré ce nouveau récit d’Edouard Louis. Un récit honnête, simple et sincère comme dans l’habitude de l’auteur. Dévoré en une après-midi pluvieuse, happée du début à la fin par cette évasion et cette quête.
Un récit universel à lire et à faire lire pour insuffler de l’espoir et tenter de montrer que rien n’est figé et que la conquête de sa liberté reste une possibilité.
💬 « J’étais trop jeune et je ne savais pas encore que la liberté a un prix, un prix que ma mère ne pouvait pas payer. »
« Car la fuite est un fardeau et beaucoup plus tard peut être elle génère le Beau ».
« Toutes ces choses qu’on s’apprêtait à faire ensemble seraient pour elle une succession de premières fois. Une guerre contre une armée de jamais. » -
Pour compléter Combats et métamorphoses d’une femme où il racontait comment sa mère avait quitté son père. Sa mère, une nouvelle fois dans une relation violente, décide de quitter l’homme avec lequel elle habite, avec l’aide de son fils. Ce même fils à qui elle en a longtemps voulu pour avoir écrit la violence de l’enfance qu’il a vécu auprès de ses parents, dans le vibrant En finir avec Eddy Bellegueule.
Avec ce roman il voulait déterminer quel est le prix de la liberté. Car celle-ci a un prix. Que fait une personne qui n’a pas d’argent pour quitter un conjoint violent? Et même hors du contexte violent. Quand on n���a pas les moyens de quitter une relation qui ne nous convient plus.
«En lisant cette histoire vous devez aussi vous dire : Pourquoi certains fuient, quand d’autres n’ont pas à fuir?
Pourquoi certains doivent toujours courir, quand d’autres peuvent dormir?
Pourquoi certains doivent toujours lutter, quand d’autres peuvent profiter?
Vous devez aussi vous dire :
Combien de désillusions pour chaque évasion?
Combien de vies sacrifiées pour chaque vie sauvée?»
Du Édouard Louis encore et toujours pertinent et poignant.
À lire. -
J’ai dévoré Édouard Louis, comme toujours. J’espère qu’il écrira toujours sur cette vie. Il raconte ici la fuite de sa mère, échappant à un homme violent, encore.
Fuir sa classe, fuir sa ville, fuir sa mère, la retrouver, il y a cette continuité si intéressante dans son œuvre, liante même. Je me sens à la maison avec cette façon de raconter, l’histoire en elle-même et de tout interroger, théoriser, déconstruire. Mélange savant de pertinence inspirante et d’émotion bouleversante. -
Roman très court, mais impressionnant, une commande de sa mère, c’est une belle réflexion sur l’adversité et la résilience grâce au récit de son évasion.
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très touchant
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Une bouleversante histoire empreinte de courage, d’amour et de détermination.
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monique nous en fait vivre des émotions à travers les mots de son fils.
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Je suis toujours frappé par la fluidité des phrases d'Édouard Louis, la sobriété du récit, les émotions pas trop appuyées, mais si justes. Son aptitude hallucinante à nous faire vivre avec lui diverses émotions. Son amour pour sa mère, qui est désormais le personnage principal de deux de ses livres.
L'émancipation d'un milieu défavorisé est un thème assez actuel, voire même omniprésent dans notre paysage littéraire, mais personne ne le fait comme Louis. -
Petit récit qui se lit presque d'une traite sur la vie de la mère de l'auteur et de son "évasion" à 55 ans.
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Quoi dire de plus que "c'était chouette, c'était émouvant, c'était du Édouard Louis" ? On peut tout de même faire la remarque que des patterns récurrents comme le transfuge de classe, les relations conflictuelles avec ses parents et l'homosexualité sont ses seuls sujets d'écriture. Peut-être dommage que ses ouvrages soient si autocentrés et finalement des réflexions sur sa propre vie
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Avec ce leitmotiv « La honte est une mémoire », Édouard Louis relève tous ses petits souvenirs de rendez-vous manqués, ces moments de gêne, de ses paroles prononcées, vite oubliées, qui décriait le quotidien de sa mère, même séparée de son père. Elle avait cru encore une fois qu’un homme pouvait la protéger ! Mais, un soir, elle appelle son fils…
« Trois maris, trois poivrots ». Et au troisième, avec l’aide de son fils, elle s’enfuit. Peut-être, les insultes entendues à travers le haut-parleur du téléphone ont-elles aidé à cette prise de conscience. Que l’intime soit franchi, l’emprise se délite !
« (..)Fuir et se libérer demandent une telle énergie que, souvent, en cours de fuite, on renonce et on fait demi-tour. »
Édouard Louis fait le récit de cette évasion. Et, il souligne, à chaque page, que devant tant à faire, il faut être accompagné ! De l’apprentissage de l’ordinateur à l’avance pour le nouveau logement, les lendemains de fuite et la fragilité qu’elles amènent sont les principales difficultés à surmonter.
Édouard Louis nous raconte la joie de cette renaissance lorsqu’elle est réussie et ponctue son récit d’un bel hommage d’un fils à sa mère, une représentation théâtrale en son honneur.
Au-delà de cette expérience personnelle décrite dans Monique s’évade, Édouard Louis montre, encore et encore, la portée sociale de son récit. Même si la joie vient cicatriser la honte, c’est bien parce que son fils connaît tous les codes sociaux de son quotidien qu’il peut soutenir sa mère vers sa libération.
Car, les associations n’ont plus les subventions nécessaires pour accomplir ce travail. L’état fait tout pour ne plus servir les aides, comme on l’apprend pour Monique, lorsqu’il n’en restreint pas drastiquement les bénéficiaires.
Alors, si la femme ne peut compter sur personne, impossible que l’évasion se réalise vraiment. Elle reviendra un jour ou l’autre auprès de son tortionnaire tant les étapes sont difficiles à franchir. Et, là, on est au cœur de la critique sociale, l’essence même de la littérature d’Édouard Louis.
De façon plus concise…
Cependant, « Monique s’évade » représente également un moment de retrouvailles entre un fils qui a trahi sa classe, son sexe et surtout sa famille, et celle qu’il a détestée, qu’il a fuie et dont il a constamment eu honte.
La mère et le fils se sont retrouvés et découvrent l’ampleur de leur tendresse. Édouard Louis est heureux avec sa mère. D’ailleurs, elle a fait la commande de ce livre pour qu’il montre, enfin, à tous, la joie de sa renaissance !
Une évasion émouvante, réaliste et tendre d’une mère, racontée par son fils. Et, ils retrouvent enfin !
Chronique illustrée ici
https://vagabondageautourdesoi.com/20... -
Het klinkt als een titel van een Tiny-boekje (Martine in het oorspronkelijke Frans): Martine à la ferme, Martine en voyage, dus waarom niet: Martine s’évade. Alleen is de inhoud wat minder luchtig. Monique, de moeder van Louis, ontsnapt in dit boek aan haar derde geweldadige echtgenoot.
Dit is het tweede boek dat ik lees van Louis, en na het wat arrogant overkomende Changer : méthode, is mijn mening volledig bijgesteld. Dit zal zeker niet het laatste boek geweest zijn dat ik van Louis heb gelezen. Meer zelfs, ik zou u ten sterkste aanraden dit boek dit lezen. Het is zo schrijnend als het hoopvol is.
De ondertitel van het boek is: Le prix de la liberté, en dit mag zowel letterlijk als figuurlijk genomen worden:
“Je pourrais aussi le formuler comme ça : c'est parce que j'avais souffert dans mon enfance que j'avais écrit des livres qui avaient engendré des conflits avec ma famille mais qui paradoxalement me permettaient d'aider ma mère dans sa fuite et sa réinvention.”
Het boek reikt ook inzichten aan over de problematiek van de armoede —zonder ooit stichtend te worden, dat maakt het ook zo krachtig. De kansen die mensen in armoede gewoon niet krijgen, en de vanzelfsprekende onverschilligheid waarmee daar wordt omgegaan. Het zou gerust verplichte kost mogen zijn voor politici.
Dit is geen Vlaamse-kleiboek vol miserie —het komt erin voor natuurlijk, de miserie, maar dit overstijgt dat gegeven op fenomenale wijze. Louis slaagt er bovendien in om een persoonlijke gebeurtenis tot een universeel verhaal om te bouwen, eentje dat nog wel eventjes gaat nazinderen. -
Ce n'est pas le livre d'Édouard Louis qui m'a le plus touché, j'avais l'impression qu'au final l'auteur n'avait pas grand-chose à dire sur le sujet et que ça tournait un peu en rond, MAIS ça reste Édouard Louis, le propos est toujours aussi nécessaire et percutant, et l'écriture aussi sincère et juste. Comme ses autres avant lui, ce livre est aussi lumineux que triste, aussi gorgé de colère que de culpabilité, mais, cette fois-ci, il y a surtout beaucoup de tendresse, et aussi : de la joie. Parce que la liberté, la réinvention, la lutte, passent aussi par là.
J'ai retrouvé ma maman en Monique, un peu de moi en Édouard, et je me sens moins seule.
Et puis, je n'oublierai jamais que j'ai terminé ce livre à peine trois heures avant de rencontrer Édouard.
Quelques-unes de mes phrases préférées :
"La honte est une mémoire"
"C'est ça aussi, la distance de classe, la violence de classe : ne plus pouvoir chanter à deux dans une voiture, ne plus pouvoir rire ensemble dans les rayons d'un supermarché"
"Est-ce que la littérature peut tout dire ? Si oui, alors j'ai échoué. Si non, alors la littérature ne suffit pas"
"Ma hâte ralentit le temps, c'est quand je voudrais qu'il passe qu'il s'arrête et quand je voudrais qu'il s'arrête qu'il se consume"
"Si la liberté n'est pas une revanche, alors elle n'est pas une liberté, voilà ce que je crois" -
All this drama of the author and his life is beginning to get repetitive. I've read a previous book by Louis, and I may understand the pain and where everything comes from. But now the story is not surprising anymore. His writing style is OK, repetitive without being brilliant. So the result is a good book for an airport wait and a medium-distance flight, but it didn't give me more than a mystery novel (without the intrigue) or a love bestseller (without the feeling of happiness).
This is not my first book by Louis, but it will probably be the last unless he becomes a fiction writer or kills one of his relatives to move to the next stage in self-fiction. -
Ce dernier livre de Louis est le deuxieme sur sa mere. Il raconte dans cette nouvelle la deuxieme "evasion" de sa mere, fuyant son troisieme compagnon. C'est plein de respect et de l'amour pour sa mere, qu'il decouvre dans ce livre plutot comme une amie. Ce livre est une excellente reflection sur la relation entre mere et fils, apres une periode de difficultes.
J'aime bien sa facon d'ecrire et je trouve que Louis a bien muri depuis son premier livre.