Autant en emporte le vent, tome 1 by Margaret Mitchell


Autant en emporte le vent, tome 1
Title : Autant en emporte le vent, tome 1
Author :
Rating :
ISBN : -
Language : French
Format Type : Mass Market Paperback
Number of Pages : 477
Publication : Published April 14, 2002

Le roman et le film les plus populaires de tous les temps. Plus de dix millions d'exemplaires vendus dans le monde. Traduit dans 18 langues. Autant en emporte le vent est une fresque historique, jamais surpassée, sur la société des Etats sudistes et les tragédies de la guerre de Sécession. C'est aussi un roman d'amour dont les héros, Scarlett O'Hara et Rhett Butler, sont entrés à jamais dans la galerie des amants légendaires.

Librarian's note: See alternate cover edition of ISBN 2070367401
here.


Autant en emporte le vent, tome 1 Reviews


  • Cristina Oniscenco

    In carte personajele sunt extrem de bine conturate , iar unele detalii m-au șocat pentru ca chiar dacă am văzut filmul de 10 ori , acolo au fost omise , iar istoria care o știam , a fost schimbată total .
    Cartea mi se pare fenomenală , iar personajele nu mai par rupte din poveste , ba din contra sunt foarte realiste .
    Sunt incluse aproape toate tipologiile umane , dacă vreți sa învățați mai multe despre oameni , chiar va îndemn sa o citiți .
    Și chiar dacă in film o simpatizam pe Scarlet cât de cât , mi se părea șmecheră , dar deșteapta , în primul volum al cărții mi se pare extrem de antipatica .

  • NOUR

    ENFIN!
    Malgré quelques difficultés à me mettre dedans au début ( puisque j'ai lu le livre sous forme Epub et cela me fatigue trop)
    Sinon Autant en emporte le vent est parmi mes meilleurs livres de l'adolescence que j'ai lu à l'époque en Arabe, ce premier tome raconte la vie d'une jeune fille Scarlett O'Hara dans la période de la guerre civile américaine.
    Ya un truc qui m'a tant énervé c'est le comportement de Scarlett O'Hara et son obsession, je pense qu'elle atteint de ce qu'on appelle en psychiatrie le délire paranoïaque type passionnel de L'érotomanie ou l'illusion délirante d'être aimé!

  • خولة حمدي

    L'unique roman de Mitchell, publié en 1936 et dont 10 millions d'exemplaires ont été vendus de part le monde, dans 18 langues relate les évènements de la guerre de Sécession, ou la guerre civile américaine survenue en 1861. La version française est publiée en 3 tomes avec 470 pages environs chacun.

    J'ai découvert un autre monde à travers ce roman, les états-unis à l'époque de Lincoln, avant l'abolition de l'esclavagisme. D'ailleurs, les états du Sud ont souhaité rompre l'Union avec les états du Nord parce que les riches planteurs de coton, commerçants et fils de bonnes familles s'attachaient aux privilèges dont ils jouissaient avec des centaines d'esclaves par foyer pour les plus riches d'entre eux. Pour cette misérable "Cause", de simples citoyens Sudistes se sont vus intégrer l'armée et partir au front pour se donner la mort par dizaines de milliers devant des adversaires plus nombreux, mieux préparés et plus munis qu'eux.

    La tragédie est racontée comme elle a été vécue par le personnage principal de Scarlett O'Hara, la fille d'un planteur de coton, dont la vie se réduisait avant la guerre à faire la coquette pour aller aux bals et recevoir compliments et cadeaux de ses "soupirants". A 16 ans, elle incarne le modèle de la jeune fille égoïste et prétentieuse dotée d'un mauvais caractère. Elle se voit le centre du monde et en dehors de sa famille et de son bien-aimé, plus personne n'importe. Elle vit la guerre comme un cauchemar qui la prive de ses loisirs et se fiche pas mal de la "Cause sacrée" qui émeut la vie de tout son entourage... sauf une personne : Rhett Butler , un jeune révolté méprisé par tous, qui profite de la guerre pour s'enrichir en important les produits de luxe dont les prix flambait chaque jour un peu plus avec le blocus imposé par les Nordistes.

    Nous vivons avec Scarlett ses journées horribles comme infirmière à l'hôpital d'Atlanta, où affluaient chaque jour par centaines blessés et mourants, dont elle détestait la vue, le toucher et l'odeur. Nous vivons également avec elle ses pertes continues : de la richesse, des amis, des membres de la famille... et enfin les journées et les nuits dures du siège de la ville d'Atlanta.

    Un roman très émouvant qui nous emporte vers les années 60 du 19ème siècle. J'espère que la suite rapportera encore plus satisfaction !

  • Gabrielle Dubois

    I read Gone with the Wind when I was 11... well, 38 years ago! I just loved it! I felt in love with History, and with Rhett. Which was a very bad thing. Not about History, but about Rhett. Because what were the boys in school compared with Rhett? So no boyfriend for me during my young teenage years!
    It's in the edition on the pic that I read Margaret Mitchell. And I think that the picture perfectly represents the character of Scarlett: determinated look, green eyes, gorgeous lips!

  • Good Books Good Friends

    Plutôt 4,5 étoiles, j'ai adoré !!! Ce qui lui coûte la dernière demi-étoile : le caractère de Scarlett, j'ai tellement envie de la secouer !!! Mais c'est signe que c'est bien écrit. :-)

  • Dominika Krajewska

    3.5

  • cipi ilie

    A fost simpatic volumul I, însă nu simt nevoia să continui romanul.

    "Cum aș putea să-mi dau seama ce vorbesc când te țin în brațe?"

  • Anne Claire

    Scarlett est, au début du roman, une jeune fille pleine d'entrain, partagée entre la bonne éducation de future « Dame » inculquée par Ellen, se mère et par sa Mama, et la spontanéité qu'elle tient de son père, Irlandais, qui s'est construit seul à son arrivée en Géorgie aux Etats-Unis.

    Au cours des évènements dramatiques qui perturberont la vie de Scarlett, on se rendra compte qu'elle sera toujours partagée entre ces deux influences. Cependant, celle de son père aura tendance à prédominer et elle usera de cette formule « j'y penserai demain » pour se déculpabiliser de ne pouvoir agir en « grande dame ».

    Scarlett a un début de vie heureuse, elle est belle, enjouée et récolte toutes les attentions des jeunes hommes de la région. Et malgré cela, c'est par Ashley, le seul jeune homme qui ne la courtise pas, qu'elle est attirée et vers lequel elle portera toutes ses attentions jusqu'à la (presque) fin du roman.

    La guerre de Sécession va venir pertuber cette heureuse période, et Scarlett devra prendre des décisions qui ne reviennent traditionnellement pas à une jeune femme. Elle portera sur ses épaules la sauvegarde de Tara puis son expansion, la santé de Mélanie, et finalement, elle sera tant terrorisée par le manque d'argent, la faim et le froid, que l'appât du gain va devenir son credo.

    J'ai été touchée par le courage de Scarlett pour contrecarrer ses peurs, elle a une volonté féroce de s'en sortir, contrairement aux personnages de Mélanie et d'Ashley qui resteront toujours fidèles à leur éducation et qui s'appuient sur Scarlett.

    Certes, Scarlett n'est pas bien dans son époque, et pourtant, malgré le combat qui s'opère en elle, elle parvient à rester fidèle à ses convictions, à vouloir son indépendance financière, à dire son indifférence sur les évènements politiques. Cette indépendance, elle la paiera dans ses relations avec Rhett Butler qui ne lui avouera jamais son amour et qui se lassera de tenter de se faire aimer d'elle sans succès.

    La fin du roman m'a marquée par un cruel réalisme. C'est une histoire d'une autre époque, teintée d'évènements qui nous sont étrangers, et pourtant les relations humaines sont tellement compliquées qu'elles en paraissent vraies. C'est l'histoire d'une rencontre manquée (malgré le mariage) et d'un malheur partagé.

    Au-delà de l'histoire d'amour, j'ai été très intéressée par le contexte historique de la Guerre de Sécession, le Ku-Klux-Klan, l'esclavagisme, les Affranchis etc... que je ne connaissais pratiquement pas. Margaret Mitchell a su faire évoluer son roman dans ce contexte d'une manière très délicate.

    Je ne souhaite pas non plus lire la « pseudo » suite de ce roman. Si Margaret Mitchell n'a pas été plus loin, c'est qu'elle n'en voyait pas l'intérêt. Je ne crois pas aux retrouvailles de Scarlett et de Rhett bien que cela m'attriste.

    Concernant le film, j'attendrai un certain temps avant de le voir. J'ai également peur d'être déçue.

  • Tittirossa

    Dove si narra brevemente la vita dei genitori (Geraldo ed Elena) di Rossella, la sua nascita ed il suo carattere.
    Molto più dettagliatamente gli anni dai 16 ai 18 (dichiarazione ad Ashley, incontro con Rhett, matrimonio con Carlo e tutto quello che ne consegue).
    Molto utile per riempire i buchi lasciati dal film: - Rossella ha 16 anni quando si sposa - 17 quando ha il primo figlio (particolare che nel film non avevo mai colto) - una vera signora non si fa mai vedere quando mangia - le flatulenze sono consentite solo agli over 70 - i neri (nel libro sempre: negri) sono tutti persone fantastiche e più assennati dei bianchi (ma solo dei bianchi maschi) - l'ospitalità ed il modo di vivere del Sud sono favolosi, fantastici, inenarrabili, incommensurabilmente meglio del resto del mondo - le donne yankee non hanno paura a mostrarsi intelligenti (e stranamente trovano marito lo stesso) - Ashley è uno stupido (ma questa non è una novità).
    Se si riesce a sopravvivere alla descrizione iperdettagliata di ogni stelo d'erba di Tara, ed alla magnificazione di ogni zolla di terra del Sud, si legge con piacere (ha vinto il Pulitzer nel 1937!)

    (la mia edizione, è la storica edizione Mondadori - Libri del pavone)

  • Marc Olaso

    On ne peut qu’admirer l’extraordinaire efficacité de la narration qui arrive à nous rendre sympathique cette courge de Scarlett, égoïste à l’extrême et sans la moindre once d’empathie.
    Et malgré tout, on est happé dans cet univers, charmé par le méphistophélique Capitaine Butler, pris dans le grand monde (anxiogène) sudiste, captivé par la description d’une Atlanta naissante...
    Cette efficacité effroyable en vient même à nous faire accepter et aimer cette nostalgie d’un Sud peuplé d’aristocrate valeureux pétris d’honneur et de quelques esclaves heureux de leur sort quand ils ne sont pas tout bonnement invisibles.
    Au final, Autant en emporte le vent est un excellent divertissement, mais laisse un sentiment amer d’être manipulé par son « storytelling » redoutable.

  • Rebeca

    5/5🌟

  • Ninel

    ★★★☆☆ - An interesting book, very racist as well.

    Of course, I won't surprise anyone by saying
    Gone with the Wind is a racist book. Yes, it was written in the 1930s, which can "explain" its racist side (even if racism can't be explained, you understand what I'm trying to say). But even placed in its historical context, you cannot deny the author herself seems to have some very clear white supremacist ideas: she spreading racist stereotypes and literally whitewashing the horrors of slavery.
    Besides this massive problem, the story is alright. However, it is sometimes incredible boring, so many pages are just describing random things. I understand the point of it, but I'm sorry, that's too much description. I really had to force myself to read it sometimes because God it was boring.
    Will I read the second book? For sure. I already know the story of course (I watched the movie many times, and I have to admit the movie is probably a bit better because it get rids of many super boring parts of the book).
    So in conclusion, I think I would advise everyone to read this book, it's a classic. Yet, be aware that it's very racist and that its description of the South is very much idealised (and not historically accurate).

  • Mira Belle

    Une franchement bonne surprise ! (Et un titre incroyablement poétique !)

    Alors, je connais les nombreuses polémiques autour d'Autant en emporte le vent, mais il faudrait rappeler que les propos racistes tenus dans ce roman font écho au contexte historique raciste dans lequel l'histoire se déroule. (Et accessoirement, au contexte historique raciste dans lequel Margaret Mitchell a écrit son livre. Celle-ci est issue d'une famille sudiste, donc forcément...)
    Je crois aussi qu'on ne peut pas réinventer le passé, aussi douloureux soit-il. Certes, certaines pensées ou dialogues sont choquants quand on les lit à notre époque, mais ils ne sont que le reflet des mœurs de l'époque à laquelle se déroule l'histoire. En un sens, j'apprécie au contraire que cette dureté ait été dépeinte : l'autrice n'épargne pas ses lecteurs des horreurs de la guerre, de l'esclavage, du racisme qui sont une part complète du passé colonial occidental. Même s'il s'agit d'un roman, le tableau historique dressé par l'autrice n'en demeure pas moins plutôt rigoureux. Si on le censurait, il faudrait fermer les yeux sur des immondices, dont, au contraire, on devrait se souvenir. Du moins, c'est ce que je pense.
    La réalité historique, aussi difficile à lire soit-elle, a eu le mérite d'avoir été écrite, dans ses aspects les plus durs.
    Maintenant, nous n'avons pas les mêmes sensibilités, et si le racisme est un thème trop douloureux pour vous - et ce point de vue est tout aussi entendable, évidemment - il faut savoir que ce roman ne dépeint pas les personnes noires sous leurs meilleurs traits, au contraire. (Puis je suis quasiment sûre que le n-word apparaît, mais je ne pourrais pas le certifier.) Les noirs y sont décrits comme ou stupides ou paresseux, c'est du moins le point de vue du personnage de Scarlett (et sans doute celui de l'autrice, puisqu'encore une fois, elle est issue d'une famille de sudistes, comme son héroïne.) Scarlett est de toute manière très méprisante, et elle pense ça de beaucoup de personnages, pas forcément noirs, donc la pilule passe "mieux", si je puis dire, que dans l'adaptation cinématographique du roman par exemple.

    Voilà. Moi qui savais à quoi m'attendre, j'ai pu passer outre le racisme. De toute façon, j'ai lu ce livre comme un classique, c'est-à-dire, avec l'idée en tête que les propos dérangeants que je pourrais y trouver ne sont que la représentation physique des mœurs de l'époque. J'ai presque envie de dire que c'est l'un des nombreux intérêts à lire des classiques.
    Personnellement, en plus de l'aspect purement historique qui m'a vraiment happé (sans pour autant agréer à ce qui se faisait ou se disait), j'ai étrangement aimé suivre les personnages.
    J'avoue avoir été étrangement touchée par Scarlett ? C'est un peu étrange de dire ça, puisqu'elle est insupportable à être hautaine et caractérielle...
    Disons que nous avons clairement affaire à une anti-héroïne comme on n'en fait plus ; elle est opiniâtre, égoïste, futile par moment, mais entière. Elle assume d'être qui elle est, et quand elle aime, elle aime vraiment. Puis, elle se raccroche si fort à la vie. A sa manière, j'ai aimé sa grande force de caractère. Elle a rendu le livre encore plus flamboyant qu'il ne l'est déjà.

    J'ai une envie folle de connaître la suite de ses aventures ! (Il faut juste que je me la procure aux éditions Folio, mais 13 balles un roman classique, ça fait mal. Je sais que Gallmeister a publié une nouvelle traduction, mais je suis un peu frileuse, à l'idée de dépareiller ma collection. Oui, ceci est un problème artificiel de lectrice, lol.)

  • F.D. Litteraria

    I read the book long before I saw the film. It was interesting and I liked it a lot... I was 15 years old, and it was not difficult to absorb so many pages. What a great historical novel!

  • sowapaczy

    2,5-3

  • Mélody

    I just end the first tome, and I really like it. But, Scarlett O'Hara isn't a sympatical character, she's mean and a little bit stupid. But Rhett Butler is my favorite character, is clever and I don't think that he's cynical when said the book, for me it's the most realist character of the book. He tell truth and don't care about hurting feelings.
    More I read the book and more I'm desapointed beacause I realized that one of my favortie book "La Bicyclette Bleu" tell the same story that Gone with Wind but in France and during WWII.

  • Joan Damiens

    Malgré quelques difficultés à me mettre dedans au début (peut-être dû à ce que l'on considérerait aujourd'hui comme du racisme, à l'époque tout à fait normal), une très bonne lecture, qui prend toute sa force au fil du récit.
    J'ai trouvé le personnage de Scarlett très ressourçant. Loin d'être énervante, sa transparence et son honnêteté ont dû inspirer tout un futur de personnages féminins libérés. Fière, mais touchée et touchante.

  • Dave

    Gone with the Wind by Margaret Mitchell (1936)

  • Arwen56

    ******

  • Niilah

    Je n'ai lu qu'une 40aine de page mais l'histoire ne se déroule pas très vite, trop de détails. Je sais que c'est un grand classique mais franchement je n'ai pas le courage ...

  • Alma

    en termes de qualité littéraire ça va mais il y a des passages vraiment racistes et ça se voit l'autrice elle pue le seum (déso jai pas d'autres mots) tellement elle a idéalisé cette société